*Vivent les vacances…**Des vagues sensuelles*La plage en ville possède un charme particulier, une poésie mouvante, comme ici à Miami.*lexpress.fr
*A 5 heures de l’après-midi, le pittoresque est au rendez-vous. On s’y baigne au pied de hauts immeubles, qui sont pour certains des hôtels avec plage privée.*Les sportifs aimeront la plage le matin, mais les torpeurs des après-midis cariocas ont forgé une légende qu’il ne faut pas manquer.
Le resto: Chez A mami, la bonne adresse italienne pour les fruits de mer. Comptez 50 euros. 224 Espanola Way, +1-305-767-50-82.
L’hôtel: Le Soho, au coeur de Miami Beach, plage privée, piscines et fréquentation bobo pour l’une des adresses les plus en vue de la ville. A partir de 130 euros la nuit en chambre double (5 nuits consécutives au minimum).
**6 jours/ 4 nuits à partir de 2980 euros par personne, comprenant les nuits à l’hôtel Fasano en chambre double, vue sur l’océan et petits déjeuners, les vols directs avec Air France, les transferts privés
**La sociologie des plages de Rio reflète bien les contradictions du Brésil contemporain: les plages sont toutes publiques, mais sur le sable la société demeure divisée. On se repère avec la numérotation des postes de secours. C’est à partir du Posto 9 qu’à Ipanema et jusqu’aux plages de Leblon, les beaux quartiers se donnent rendez-vous, tandis que Copacabana affiche une fierté résolument populaire. Pauvres et riches demeurent toutefois égaux dans la simplicité des activités balnéaires. Point de bar à champagne tropézien pour les millionnaires. Toute la vie sociale traditionnelle se reproduit sur la plage, y compris les messes ou les concerts. La conjonction de deux événements majeurs -la Coupe du monde de football 2014 et les Jeux olympiques en 2016- a poussé la municipalité à lancer un plan visant à assainir les eaux de tous les lagons de Rio. C’est un défi majeur pour la ville: maintenir des plages saines dans l’environnement d’une région qui approche les 12 millions d’habitants.*lexpress.fr
*Barceloneta, la plage préférée des habitants de Barcelone
*dans le sud de l’île Victoria, à Hongkong
*La plage privée de l’hôtel Burj al-Arab, emblème de la ville.
Dubaï est certainement le seul endroit au monde où la longueur du littoral est passée en une vingtaine d’années de 60 kilomètres à 1500. Le secret: les « palmes », immenses polders en forme de feuille gagnés sur la mer à coups de sable ramené des profondeurs du golfe Persique et festonnées d’habitations et de resorts. Des vraies plages, n’en cherchez pas à Dubaï. Celles qui bordent ce Manhattan du monde arabe sont le plus souvent le prolongement d’un hôtel -du mythique Burj al-Arab au tout nouveau Fairmont, ultime variation architecturale sur le thème des Mille et Une Nuits. Sur leurs plages privées, les touristes en Bikini se baignent à côté d’Emiraties en combinaison intégrale noire.
L’autre surprise vient de la température de l’eau, qui grimpe à 33 degrés en été, soit à peine moins qu’une douche! Tout près de resorts où évoluent les touristes, les habitants de Dubaï disposent de plusieurs spots balnéaires, petits espaces de sable gratuits et souvent clos, car il s’agit de contrôler les fréquentations entre hommes et femmes. Au parc d’Umm Suqqeim, où la plage jouxte jardins et barbecue, les « papas sont admis le vendredi, et les garçons, jusqu’à l’âge de 9 ans », précise le site municipal. Pas de bronzette, dans ce pays où les femmes sortent voilées de la tête aux pieds, mais une ambiance de jardin d’enfants et un lieu qui reflète bien les clivages sociaux. On ne quitte pas cette étrange planète avant d’avoir exploré The World, l’archipel d’îles artificielles construit à 4 kilomètres des côtes, où des stars achetèrent un bout du monde vers 2006, avant que la crise financière ne stoppe cette folie. En 2010, un riche Indien propriétaire du Liban (Lebanon Island) a installé sur l’îlot des cabanes de plage et un restaurant, nouvelle place to be qu’on rejoint en un quart d’heure de speed boat pour un verre au soleil couchant.
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