**En raison de mon impossibilité d’accéder à mon blog “ELAyam.2″ et à son administration, à la suite de l’adoption, par le cerveur Unblog.fr, d’une nouvelle plate-forme, j’ai trouvé que je pouvais continuer à publier des infos et à communiquer avec mes lecteurs internautes, par l’intermédiaire d’un autre blog “ELAyam en images”- url: http://actuniar.unblog.fr/
*J’espère que les difficultés rencontrées jusqu’à présent seront résolues et que je pourrais passer à la nouvelle version sans problème, dans les prochains jours. Avec mes amitiés. L’auteur: NIAR. (Oran le 17.11.2011.)
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*Un gazoduc saboté par des terroristes à Djebahia-(Bouira)
Le gazoduc reliant Hassi R’mel à Dellys, a été saboté par un groupe terroriste, ce vendredi 18 novembre vers 4h, au lieudit Oued Chhimi, dans la commune de Djebahia, à 30 km au nord-ouest de Bouira.
Les assaillants ont fait exploser une bombe de fabrication artisanale sur le gazoduc, provoquant d’énormes dégâts, précise une source sécuritaire. Suite à cet attentat, plusieurs localités de Bouira et du sud de la wilaya de Tizi Ouzou, sont privées de gaz naturel.
Des équipes de Sonatrach et de Sonelgaz de Bouira sont à pied d‘œuvre pour procéder à la réparation de cette partie endommagée, confirme un cadre à la Sonatrach.
Il est utile de souligner que ce n’est pas la première fois, que le gazoduc traversant la région ouest de la wilaya de Bouira est ciblé par les groupes armés. (El Watan-18.11.2011.)
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*La connexion d’AQMI avec Boco Haram met le monde en alerte
Le Forum global de lutte contre le terrorisme, qui s’est achevé hier à Alger, aura permis de recentrer les débats sur les défis sécuritaires – et politiques – de la région sahélienne : des connexions entre groupes armés de plusieurs pays au déferlement d’armements libyens.
La circulation massive des armes en provenance de Libye et la connexion désormais avérée entre Al Qaîda au Maghreb islamique, le groupe nigérian Boco Haram et les Shebab somaliens inquiètent lourdement la communauté internationale au point de devenir un centre d’intérêt de tous les services de sécurité des grandes puissances. Ainsi, les experts du groupe de travail sur le Sahel, dépendant du Forum global de lutte contre le terrorisme (FGLCT), ainsi que ceux des 30 pays qui l’ont fondé, ont exprimé leur «préoccupation» face à la situation qui prévaut dans l’espace sahélo-saharien, notamment depuis qu’une partie des armes libyennes sont arrivées entre les mains d’AQMI.
Alarme
Cette organisation, qui finance ses activités grâce aux rançons (versées en contrepartie de la libération des otages), vient de déclencher l’alarme en s’alliant avec le groupe Boco Haram du Nigeria, un pays qui pèse lourd sur le marché mondial du pétrole. Dans le document diffusé par le FGLCT, il est relevé qu’AQMI «tente d’exploiter les faiblesses structurelles de certains pays de la région pour se sanctuariser en multipliant ses capacités à effectuer des prises d’otages et à mener des attaques contre les pays de l’espace». Le FGCT estime que la menace touche aujourd’hui plusieurs pays de la zone.
Il cite le premier cercle constitué du Mali, du Niger, de la Mauritanie et de l’Algérie, suivi du deuxième cercle plus élargi, et qui concerne le Burkina Faso, la Guinée, le Sénégal, le Tchad, le Maroc et le Nigeria. Un axe qui peut se prolonger jusqu’au Yémen puis continuer sa route jusqu’en Afghanistan. L’enjeu n’est pas moindre. Ce qui explique la prise de conscience des puissants de ce monde. Mais ces derniers savent que la guerre contre le terrorisme ne se gagne pas uniquement avec le fusil.
Lacunes
Elle doit être accompagnée d’une lutte contre le sous-développement, la misère, l’exclusion et le déni de droit. Pour cela, les Etats membres fondateurs du Forum ont appelé à la promotion de la coopération régionale et internationale, et à la mise en place d’un mécanisme qui permettra aux experts du terrain de se rencontrer et d’échanger leurs expériences et leurs informations afin de mieux combler leurs lacunes et de renforcer leurs capacités de riposte. C’est en fait autour de ces principes que la première réunion technique du groupe Sahel, coprésidée par l’Algérie et le Canada, a eu lieu à Alger en présence de 150 experts venus de 29 pays, de l’Union européenne, de l’ONU et des ONG régionales et internationales.
Tenus à huis clos, ces travaux ont permis aux participants de discuter de cinq domaines définis par le FGLCT, lors de sa création le 21 septembre dernier à New York. Il s’agit du renforcement de la sécurité frontalière, la coopération entre les services de police, la lutte contre le financement du terrorisme, le renforcement juridique et judiciaire ainsi que les engagements communautaires. Des mesures concrètes devaient être adoptées en fin de journée à la clôture de l’atelier.
*Le nombre d’armes qui ont quitté la Libye en question
«La Grande-Bretagne soutient la position de l’Algérie sur la nécessité de criminaliser le paiement des rançons et l’appuie fermement dans sa campagne», a déclaré le général-major, Robin Searby, conseiller du Premier ministre britannique chargé de la lutte contre le terrorisme en Afrique du Nord et au Sahel. Intervenant en marge des travaux de la première journée de l’atelier technique du groupe Sahel sur le renforcement des capacités de riposte, le responsable a indiqué que son pays «plaide aux côtés de l’Algérie au sein des Nation unies, pour faire en sorte que le paiement des rançons soit illégal. Nous sommes en train de convaincre d’autres pays à adhérer à cette proposition».
Sur sa participation à l’atelier, le général-major a répondu : «Nous avons pris part à cette réunion d’abord pour analyser la menace terroriste à laquelle fait face le monde et débattre des aspects définis par le Forum liés à la sécurité des frontières, le financement du terrorisme et la coopération judiciaire. Nous avons une très bonne expertise en matière de financement du terrorisme et nous coopérons avec l’Algérie dans ce domaine.»
Interrogé sur les armes qui ont quitté la Libye, le responsable a reconnu qu’«il y a une prolifération mais, a-t-il précisé, nous ne connaissons pas leur quantité. Ceci ne veut pas dire que nous n’avons pas de bons renseignements. Il faut juste du temps pour que les choses deviennent claires, parce que des armes avaient été achetées par le régime d’El Gueddafi de manière illégale, ce qui rend difficile tout recensement ou inventaire de l’arsenal volé».
*Pour Rezag Bara, il faut associer les civils à la lutte antiterroriste
Approfondir les capacités de tous les Etats dans la lutte contre le terrorisme dans un cadre civil. L’objectif est que les services de justice, de police, les douanes, tous ceux qui suivent les questions de financement du terrorisme, de sécurité frontalière, l’implication de la société civile et des communautés, puissent être impliqués dans cette action.
C’est ce qu’a déclaré mercredi Rezag Bara, coordinateur interministériel de la lutte contre le terrorisme et conseiller du président, en marge des travaux de l’atelier technique sur le Sahel. Il a jouté : «Nous avons toujours dit que l’aspect militaire et sécuritaire dans la lutte est très important, mais il doit être accompagné par l’aspect développement de la gouvernance et des capacités civiles des Etats afin de mieux répondre à la menace et à son évolution.»
Selon Rezag Bara, «la situation de la région du Sahel est de plus en plus très préoccupante à cause de la prolifération des armes en provenance de Libye et le recours à la prise d’otages humanitaires et de ressortissants étrangers par les groupes terroristes». (El Watan-18.11.2011.)
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*Daniel Benjamin. Coordinateur de la lutte antiterroriste au département d’Etat américain
La situation au Sahel est devenue plus complexe
-Vous avez insisté sur le caractère informel de la rencontre. Comment comptez-vous aboutir à des actions concrètes contre le terrorisme avec une structure informelle qui n’engage pas les Etats ?J’ai dit que l’initiative est informelle parce qu’elle ne repose pas sur un traité ou une quelconque décision onusienne qui engage les Etats. Vous savez qu’au sein des Nations unies, il n’y a toujours pas de consensus sur la définition du terrorisme. Donc, il est inconcevable d’arriver à s’entendre sur un traité ou une stratégie qui pourrait être ratifié par l’ensemble des Etats membres. Des tribunes comme celle du Forum permettent de réunir tout le monde tout en sachant que chacun reste souverain dans sa décision.-Trois groupes régionaux – le Sahel, la Corne de l’Afrique et le Sud-Est asiatique – ont été créés à la faveur de ce Forum. Ces régions sont-elles devenues la priorité sécuritaire des Etats-Unis ?Je ne dirais pas cela, mais il y a des opportunités pour renforcer la coopération avec ces régions, quand bien même il y a un intérêt particulier pour celles-ci, pas seulement des Etats-Unis, mais de tous les membres du Forum.-Pourquoi avoir attendu jusqu’à ce que les armes libyennes arrivent entre les mains des terroristes pour lancer l’initiative, notamment le groupe Sahel ?
Le lancement du Forum et du groupe de travail consacré au Sahel n’a pas été motivé par la crise libyenne ou la prolifération des armes. Il est vrai que la situation est devenue plus complexe maintenant à la lumière des événements en Libye. Ce qui nous incite à travailler encore plus, notamment au sein de ce groupe Sahel, dans l’objectif immédiat est de trouver des solutions pour lutter efficacement contre la menace terroriste qui pèse sur toute la région.
**Salima Tlemçani-(El Waran-18.11.2011.)
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*La dette américaine dépasse les 15.000 milliards de dollars
Ce seuil a été franchi à la hausse mardi 15.11.2011., ce qui amène la dette à 99% du PIB. La Commission mixte du Congrès, censée trouver les moyens d’économiser 1200 milliards sur dix ans, peine à se mettre d’accord.
*Photo: Le dôme du Capitole à Washington.
En une journée, la dette publique américaine a grossi de 55,8 milliards de dollars. Résultat, mardi, elle atteignait 15.033,6 milliards de dollars, selon le département du Trésor américain. Elle correspond désormais à 99% du PIB prévu par la Maison Blanche pour l’ensemble de l’année 2011.
Cette dette avait franchi à la hausse le cap des 10.000 milliards de dollars en septembre 2008. Depuis cette date, les États-Unis accumulent 1000 milliards de dette supplémentaire tous les sept mois et demi en moyenne. Un rythme violemment dénoncé par l’opposition républicaine qui accuse le président Barack Obama d’en être l’unique responsable. Rick Perry, candidat à l’investiture républicaine pour l’élection présidentielle de novembre 2012, a ainsi dénoncé «la politique socialiste d’Obama qui ruine le pays» et pense qu’ «il était temps de réformer Washington».
Sur Twitter, Paul Ryan, le président de la commission de la chambre sur le Budget, estime que «ce chiffre marque un jour infâmant pour l’histoire américaine. Vous méritez des dirigeants qui s’attaquent vraiment au problème». «L’Amérique vient de passer un cap inimaginable: notre dette dépasse 15.000 milliards de dollars. Cela fait plus de 48.000 dollars par Américain», a lancé Reince Priebus, président du Comité national du parti républicain. De son côté, le sénateur républicain Mitch McConnell affirme que les États-Unis ont «une dette qui pèse autant que notre économie. Cela nous fait beaucoup ressembler à la Grèce».
Le franchissement du seuil symbolique des 15.000 milliards a eu lieu au moment où la Commission mixte du Congrès pour la réduction du déficit budgétaire se réunissait sans parvenir à un accord qui définirait des économies budgétaires d’au moins 1200 milliards de dollars cumulés sur dix ans. Si rien ne sort de ces discussions avant le 23 novembre, la loi prévoit la mise en oeuvre automatique, à partir de 2013, de réductions des dépenses de l’Etat, réparties à part égale entre les dépenses de défense et le reste des dépenses.
Pessimiste, le Fonds monétaire international (FMI) a estimé, dans son dernier «Moniteur des finances publiques» daté de septembre, que la dette publique des États-unis allait atteindre 100% du PIB à la fin de l’année, 105% en 2012, et continuer de progresser jusqu’à 115% en 2016. (Le Figaro-17.11.2011.)
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**Pourquoi la France a virtuellement perdu son «AAA»
Du jamais vu depuis la création de l’euro. L’écart de rendement ou «spread» entre l’emprunt d’Etat français à dix ans et son équivalent allemand, le Bund, a atteint 200 points de base jeudi matin.
L’Allemagne, valeur refuge
Alors que l’Allemagne peut émettre des obligations d’Etat moyennant le versement d’un intérêt de 1,7%, la France doit le faire à un taux de 3,7%. Traduction: Paris offre aux investisseurs deux points de pourcentage d’intérêt de plus que Berlin pour les séduire. En juillet, le spread n’était que de 40 points de base. Mais entre temps la crise de la dette est passée par là. Et l’Allemagne, plus vertueuse sur le plan économique, fait désormais office de valeur refuge par excellence.
«Dans la zone euro, la France n’a plus le premier rôle et les investisseurs se dirigent vers le pays qui l’a», résume Philippe Waechter, directeur des études économiques chez Natixis Asset Management. En effet, les marchés reprochent à la France l’absence de plan budgétaire précis au-delà de 2012 auquel s’ajoutent des perspectives de croissance très optimiste sur lesquelles le budget est bâti (1%).
Conséquence: les taux d’intérêt grimpent. Ils sont aujourd’hui nettement au-dessus de la moyenne enregistrée depuis le début de 2010 soit 3%. Et l’écart avec nos voisins d’outre-Rhin n’est pas près de se réduire alors que la France rentre dans une échéance électorale majeure peu propice à des réformes structurelles d’envergure. Difficile dans ce contexte «d’inverser la perception qu’ont les investisseurs de la situation française», analyse Philippe Waechter.
Pour les marchés, la France a perdu sa note
Avec une telle différence de taux d’intérêt entre Paris et Berlin, de nombreux spécialistes estiment que la France a implicitement perdu son sacro-saint «AAA», la meilleure note possible livrée par les agences de notation pour emprunter, en théorie, dans d’excellentes conditions sur les marchés.«Les spreads ne correspondent plus à ce niveau», confirme Philippe Waechter. Une étude publiée mardi estimait de son côté que la situation économique de l’hexagone était difficilement compatible avec la notation triple A.Déjà l’agence Moody’s a décidé, à la mi-octobre de mettre sous surveillance la perspective «stable» de la note française. De son côté, Standard & Poor’s a diffusé, la semaine dernière, «par erreur» un message laissant entendre qu’elle l’avait dégradée. La perte officielle du «AAA» ne serait donc qu’une question de temps. La France deviendrait ainsi le deuxième grand pays après les Etats-Unis, cet été, à être victime d’une telle sanction.Le «AAA» de la France, «trésor national» selon la formule d’Alain Minc, proche du chef de l’Etat, ne tient donc plus qu’à un fil. (20Minutes-17.11.2011.)**********************
**France: Neuf patrons sur dix des TPE prévoient une récession
Selon le baromètre Fiducial, la crise actuelle est jugée plus grave que celle de 2008-2009.
Les patrons d’entreprise employant moins de 19 salariés, qui sont 2,4 millions environ, n’ont pas le moral. Interrogés sur le climat général des affaires en France, ils ne sont que 23% à se déclarer optimistes, selon la 44e édition du baromètre des TPE, réalisé par l’Ifop pour Fiducial. «C’est le niveau le plus bas depuis dix ans. Le climat économique général, qui est anxiogène, explique leur état d’esprit. Les gouvernements européens sont empêtrés depuis plusieurs mois dans la crise de la dette souveraine» , analyse Jean-Marc Jaumouillé, directeur des techniques professionnelles chez Fiducial.
Les dirigeants de très petites entreprises (TPE), dont 59% n’emploient pas de salarié, sont très sensibles au climat économique général, car leur marge de manœuvre est très faible. «Le chef d’entreprise n’a qu’une seule variable d’ajustement: sa rémunération. Il la baisse quand cela va mal», observe Jean-Marc Jaumouillé.
Redoutant le pire, 73% des petits patrons estiment que la crise actuelle est plus grave que celle de 2008-2009. 91% pronostiquent une période de récession en Europe. 87% en France. «Ils ont le sentiment que la crise qui frappe les États est structurelle, alors que celle de 2008, qui était une crise du système financier, était conjoncturelle», poursuit Jean-Marc Jaumouillé. La dette de l’État et le déficit public les inquiètent et ils ne sont pas convaincus par l’efficacité des mesures prises. Ils ne sont que 23% à juger que la loi de finances et la loi de financement de la sécurité sociale pour 2012 sont à la hauteur des enjeux. Un sur deux craint la faillite d’une ou plusieurs banques françaises.
Manque de visibilité
Les chefs d’entreprise manquent de visibilité sur l’évolution de leur carnet de commandes d’ici à la fin de l’année ainsi qu’en 2012. Environ un sur trois prévoit une dégradation de la trésorerie de son entreprise pour les trois mois à venir. Les dirigeants craignent que leurs relations avec les banques ne deviennent plus difficiles. 84% tablent sur une hausse des tarifs bancaires. 76% sur un durcissement des conditions d’accès au crédit. Tous ces freins et incertitudes expliquent que les embauches soient gelées. Seulement 9% des dirigeants qui emploient entre 10 et 19 salariés envisagent d’augmenter leurs effectifs l’année prochaine. (Le Figaro-17.11.2011.)
***Les Bourses en nette baisse
L’indice composé S&P/TSX du parquet torontois a perdu 2,13% ou 258,93 points pour clôturer la séance à 11 915,43 points, tandis que la Bourse de croissance TSXV a échappé 2,08% ou 34,01 points à 1599,21 points.
Le dollar canadien s’est déprécié de 0,51 cent US à 97,25 cents US, les investisseurs s’étant tournés vers les bons du Trésor américain, généralement perçus comme des valeurs refuges pour le marché des devises.
À New York, la moyenne Dow Jones des valeurs industrielles a perdu 1,13% ou 134,86 points à 11 770,73 points, tandis que l’indice composé du Nasdaq a cédé 1,96% ou 51,62 points à 2587,99 points et que l’indice élargi S&P 500 a rendu 1,68% ou 20,78 points à 1216,13 points.
Les inquiétudes ont porté jeudi sur l’Espagne, le pays ayant dû promettre des rendements d’un peu plus de sept pour cent pour lever 3,56 milliards d’euros en obligations de 10 ans. Ce niveau de taux d’intérêt, le plus élevé depuis 1997 pour l’Espagne, est généralement considéré comme insoutenable à long terme.
La Grèce, l’Irlande et le Portugal ont tous dû demander des plans de sauvetage financiers de l’Union européenne après que leurs rendements obligataires eurent franchi le cap des sept pour cent.
Mais l’Espagne, comme l’Italie, est une affaire beaucoup plus délicate puisque son économie est plus grande, tout comme sa dette.
Les rendements des obligations italiennes ont aussi atteint le niveau de sept pour cent au cours de la séance.
«On pourrait dire que les marchés enregistrent un vote de non-confiance», a observé Robert Gorman, stratège chez TD Waterhouse.
«Ils sont dans un état d’esprit qui exige des faits, et les Italiens et les autres vont devoir se présenter avec quelque chose d’assez clair – et ‘clair» est le mot-clé ici -, des déclarations sur ce qu’ils vont faire exactement, avec des cibles vérifiables et des dates limites, et pas juste des paroles en l’air.»
L’agence de notation Fitch a aussi assombri le ciel en affirmant que l’Italie était vraisemblablement déjà en récession.
Fitch a abaissé la note de l’Italie à A-plus, alors qu’elle était de AA-moins avec perspectives négatives le mois dernier. L’agence a en outre averti qu’elle pourrait devoir réduire davantage son évaluation si le pays était incapable d’emprunter à des taux raisonnables sur les marchés.
Les déboires de l’Europe ont porté ombrage à la publication de quelques nouvelles économiques plus encourageantes.
L’indice de fabrication régional de la Réserve fédérale de Philadelphie – surveillé de près par les économistes – a reculé à 3,6 points en novembre, contre 8,7 en octobre. Mais certaines variables de l’indice sur l’activité future ont atteint leur niveau le plus élevé en huit mois.
Par ailleurs, le nombre d’Américains ayant demandé des prestations d’assurance-emploi a reculé la semaine dernière à son plus faible niveau en sept mois. Le nombre de demandes s’est chiffré à 388 000, mais reste au-dessus du niveau-clé de 375 000 demandes, qui signale une croissance soutenue du marché de l’emploi, selon les économistes.
Les permis de bâtir ont aussi grimpé de 10,9%, ce qui s’est avéré plus élevé que ce qu’attendaient les économistes.
La volatilité des cours des matières premières s’est poursuivie jeudi, un ralentissement de l’économie mondiale devant normalement entraîner une baisse de la demande pour le pétrole et les métaux. La faiblesse des prix des ressources naturelles exerce en retour une pression à la baisse sur les actions des entreprises de ces secteurs, nombreuses sur le TSX.
Le cours du pétrole brut a reculé de 3,77$ US à 98,82$ US le baril à la Bourse des matières premières de New York. Le secteur de l’énergie à Toronto a retraité de 2,44%, l’action de Cenovus Energy (T.CVE) ayant délaissé 1,12$ à 32,82$, tandis que celle de Suncor Énergie (T.SU) a perdu 93 cents à 31,82$.
Le secteur torontois de la finance a aussi reculé de près de 2%, tiré vers le bas par les craintes au sujet des possibles répercussions de la crise des dettes sur les banque européennes. Le titre de la Banque Scotia (T.BNS) a perdu 1,42$ à 49,32$, tandis que celui de la Royale (T.RY) a abandonné 1,15$ à 43,95$.
Le cours du lingot d’or a aussi perdu des plumes, plongeant de 54,10$ US à 1720,20$ US l’once à New York. L’action de la minière canadienne Barrick Gold (T.ABX) a glissé de 1,99$ à 50,99$, tandis que celle de Goldcorp (T.G) a rendu 1,14$ à 52,38$.
Le secteur des métaux de base s’est déprécié de 4%, le cours du cuivre ayant notamment perdu 10 cents US à 3,38$ US la livre à la Bourse des matières premières de New York. L’action de Teck Resources (T.TCK.B) a échappé 1,62$ à 35,83$ et celle de First Quantum Minerals (T.FM) a reculé de 69 cents à 17,90$. (La Presse Canadienne-Toronto-17.11.2011.)
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**Le film “La Bataille d’Alger” visionné en Israël
Le célèbre film sur la révolution algérienne La Bataille d’Alger, réalisé par Gillo Pontecorvo et produit par Yacef Saâdi a été visionné pendant plusieurs mois à la cinémathèque de Tel-Aviv, en Israël, en 1988, peu après le déclenchement de la première Intifada dans les territoires occupés. C’est ce que révèle le site Wikipédia dans sa version anglaise. Curieusement, cette information n’est pas disponible sur la version française de la présentation du film. Yacef Saâdi et sa fille Zafira restent les seuls producteurs du film à l’heure actuelle. Alors, qui a autorisé la cinémathèque israélienne à diffuser un film produit par un pays avec qui elle ne possède ni accords commerciaux, ni accords culturels et encore moins de relation diplomatique? …. le film qui a été interdit en Israël, pendant plusieurs années, a été présenté en 1988, pour tenter de comprendre les motivations des manifestations des Palestiniens dans les territoires occupés. Selon le site, le film a suscité un grand intérêt dans le public israélien. La gauche israélienne a utilisé le film pour soutenir l’argument selon lequel les tentatives de soumettre les Palestiniens par la force sont vaines et qu’Israël devait mettre fin à son occupation de la Cisjordanie et la Bande de Ghaza, tandis que la droite israélienne a affirmé que la situation d’Israël vis-à-vis de ces territoires occupés, forme une continuité territoriale avec Israël d’avant 1967, que le cas n’était pas comparable avec la Guerre d’Algérie et que la France et l’Algérie sont séparées par la Méditerranée. La comparaison de la situation d’Israël avec la Guerre d’Algérie a continué à surgir dans le débat politique israélien même après que le film ait cessé d’être projeté à la cinémathèque de Tel-Aviv et reste un thème récurrent jusqu’à présent en Israël. Il est clair que le film La Bataille d’Alger est devenu une référence pour les pays qui font face à une révolution interne. Ainsi, toujours selon le site d’informations générales, le film a été également présenté dans les années 1970 en Argentine pour les cadets de l’École supérieure de mécanique marine (Esma), qui commençait à recevoir des cours sur la contre-insurrection des classes. Dans un de leurs cours, ils ont visionné le film La Bataille d’Alger. C’est Anibal Acosta, un des cadets de l’Esma qui, interrogé par la journaliste française Marie-Monique Robin, décrit la scène: «Ils nous ont montré ce film pour nous préparer à une sorte de guerre très différente de la guerre régulière enseignée à l’école de la Marine. Ils nous préparent pour des missions de police contre la population civile, qui est devenue notre nouvel ennemi.» Si les Israéliens n’ont pas sollicité les Algériens pour la projection du film, ce n’est pas le cas du Pentagone, qui a invité Yacef Saâdi lui-même pour présenter le film aux États-Unis en 2003.
Les chefs du Pentagone ont étudié, dans le détail, avec leurs officiers chargés des opérations en Irak le film de Gilles Pontecorvo pour mettre en place une riposte à la guérilla urbaine en Irak.
Cette reconnaissance de l’impact politique et sociologique du film, incita les producteurs algériens et italiens à distribuer le film dans les salles américaines.
Le 12 octobre 2004, The Criterion Collection sortit le film en version restaurée dans un coffret de 3 DVD. Dans le bonus du DVD, les anciens officiers américains du contre-terrorisme Richard A. Clarke et Michael A. Sheehan donnent leur opinion sur le film La Bataille d’Alger. Des réalisateurs très célèbres tels que Spike Lee, Mira Nair, Julian Schnabel, Steven Soderbergh et Oliver Stone, (qui sera à Alger le 18 novembre prochain) ont évoqué dans un documentaire l’influence du film sur leurs oeuvres. Même Steven Spielberg s’est inspiré de la qualité de la couleur noir et blanc du film de Pentecorvo pour faire son film sur le massacre des juifs durant la seconde Guerre mondiale dans son film La liste de Schindler. Le documentaire comprend également des interviews avec les membres du FLN, Yacef Saâdi et Zohra Drif. Avec les années, le film La Bataille d’Alger n’a pas vieilli, mieux encore, il est sollicité partout dans le monde. Selon le magazine Empire, il est classé à la 120e place des 500 meilleurs films de tous les temps. (L’Expression-16.11.2011.)
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*Plus de 40 films seront tournés en Algérie pour l’année 2012.
La commémoration du 50e anniversaire du 5 Juillet revêt un caractère politique et historique important.
scène du film »ZABANA »
Le ministère de la Culture clôturera dans les prochains jours, l’appel aux projets sur la commémoration du 50e anniversaire de l’Indépendance. Selon le directeur du Cnca, Karim Aït Oumeziane, 14 projets ont été déjà déposés au niveau de l’Entreprise cinématographique nationale à Frantz-Fanon. Comme pour la manifestation de Tlemcen, une centaine de projets sont attendus. Les producteurs sont aussi bien attirés par l’argent qui est dépensé par le pays mais aussi par les retombées politiques du succès de l’oeuvre.
Jamais, depuis l’Indépendance, l’Algérie n’avait consacré une manifestation sur la Révolution. Sur les directives du Président Bouteflika, la commémoration du 50e anniversaire du 5 Juillet revêt un caractère politique et historique important. Des colloques, des films, des documentaires et bien sûr des films seront consacrés à cet anniversaire. En France, 2012 sera également fêté et des films et documentaires sont attendus. Si en 2010, Hors-la-loi avait constitué une réponse cinématographique aux révisionnistes, en 2012, il y a des films français qui sont attendus sur ce dossier. Il y a quelques jours nous avons assisté à la projection cinéma d’un documentaire français sur les massacres du 17 Octobre 1961. La projection s’est déroulée en présence de l’ancien ministre de l’Intérieur et vice-Premier ministre Yazid Zerhouni. Les autres projections seront vues par les hauts responsables du pays. Le plus attendu restera le film Zabana réalisé par Saïd Ould Khelifa, qui a été lui aussi financé par le ministère de la Culture, des Moudjahidine et l’Entv. Le tournage du film est fini et actuellement en montage en France. Selon certaines sources, le film serait meilleur que celui de Rachedi sur Benboulaïd. Le verdict sera donné à la salle Mougar, probablement en 2012. On parle même d’une importante projection à Oran, terre natale du plus jeune martyr guillotiné, Ahmed Zabana.
Pour 2012, on attend également le film sur Larbi Ben Mhidi, produit par Bachir Deraïs, écrit par Mourad Bourboune et réalisé par l’auteur de la Voie et Sanaoud Mohamed Slim Riad. Mais, vu le casting international qui est attendu, on parle de Tahar Rahim dans le rôle de Larbi Ben Mhidi et Isabelle Adjani dans le rôle de Hassiba Benbouali, le film ne sera pas terminé avant 2014. Le ministère des Moudjahidine et la télévision auraient donné déjà donné leur accord de principe, en attendant la réponse de l’Aarc et du ministère de la Culture, qui interviendra après le dépouillement des projets. Pour le producteur, le film Larbi Ben Mhidi devra égaler ou dépasser le film La Bataille d’Alger de Pontecorvo. Parmi les anciens réalisateurs de la révolution, Ahmed Rachedi prépare un documentaire fiction sur le déclenchement du 1er Novembre avec Hasssen Kachach, le héros de Zabana, alors que le lauréat de la Palme d’Or 1975, Mohamed Lakhdar Hamina, prépare le tournage du film Corvée de bois, qui a déjà obtenu le soutien du ministère de la Culture. Plusieurs réalisateurs spécialisés jadis dans l’audiovisuel et les productions du Ramadhan comptent également s’essayer à l’histoire. C’est le cas de Djaâfar Gassem qui avait abandonné le projet d’Akid Lotfi pour envisager une aventure personnelle. Même cas pour Amar Mohsen qui prépare un film sur Bouguerra. Le ministère des Moudjahidine a, depuis le succès de Benboulaïd, un intérêt grandissant pour le cinéma de la Révolution. Dès l’annonce du voeu du Président Bouteflika de produire des films sur la Révolution, plus de 60 scénarios de longs métrages ont été déposés au niveau du ministère des Moudjahidine pour étude et aide au financement. Le ministère des Moudjahidine accorderait entre 20 et 40 milliards de centimes à une superproduction sur la Révolution, ce qui est loin de ce que peut donner le ministère de la Culture ou la Télévision nationale au cinéma. Mais au-delà du facteur financier de l’oeuvre, il ne faut pas oublier le volet artistique, condition sine qua non pour la reconnaissance nationale et internationale. (L’Expression)
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«NUITS DE LA SAOURA» DE BÉNI-ABBES
**6ème édition du festival international de musique «Nuits de la Saoura»,
prévue du 28 décembre 2011 au 1er janvier prochains à Béni Abbes, dans la wilaya de Bechar-Algérie
*Une centaine d’artistes et musiciens, algériens et étrangers, sont attendus à la 6ème édition du festival international de musique «Nuits de la Saoura», prévue du 28 décembre au 1er janvier prochains à Béni Abbes, dans la wilaya de Bechar, a-t-on appris des organisateurs. Une cinquante viennent de France et de pays africains, tandis que les autres sont issus de plusieurs régions du pays, notamment de la wilaya de Bechar, a précisé M.M’barek Mamouni, président de l’association culturelle locale «El-Hilal», co-organisatrice, avec l’association «Nuits de Métis» de la ville de Marseille (France), de cette manifestation artistique. Plusieurs activités et manifestations culturelles et touristiques sont prévues en marge des représentations artistiques programmées, en soirée, au pied de la grande dune de la ville de Béni Abbes, a-t-il indiqué. Il s’agit notamment d’expositions sur les arts traditionnels et l’artisanat et les métiers ainsi que sur les différentes réalisations du mouvement associatif de la daïra de Béni-Abbes (264 km au sud de Bechar), en plus de celles dédiées aux potentialités touristiques et naturelles de cette région de l’extrême sud-ouest du pays (L’Expression-16.11.2011.)
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* 11ème rencontre des Ecoles méditerranéennes des beaux-arts-Batna-Algérie
La 11ème rencontre des Ecoles méditerranéennes des beaux-arts s’est ouverte lundi à l’Ecole régionale des beaux-arts de Batna, avec la participation de plusieurs artistes venus de dix pays du pourtour méditerranéen et d’Arabie Saoudite, en qualité d’invité d’honneur, et de 11 écoles nationales.
La cérémonie d’ouverture de cette manifestation, qui réunit des artistes du Portugal, d’Italie, de Turquie, de Grèce, de France, de Croatie, de Syrie, de Palestine, du Liban et du Maroc, s’est déroulée dans une ambiance conviviale marquée par une diversité culturelles unifiée par l’expression artistique.
Ce rendez-vous artistique international vise également à examiner avec les autres partenaires, les méthodes à préconiser pour mettre les Ecoles des Beaux-arts d’art du bassin méditerranéen au diapason des évolutions contemporaines. Le secrétaire général de l’association Ecume (Echanges culturels en Méditerranée), M. Omar Daniel Belli, a inscrit l’organisation, pour la troisième fois en Algérie, de cette manifestation «dans le cadre des échanges permanents entre les deux rives de la Méditerranée».(L’Expression)
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**Algérie- Présence obligatoire des étudiants de licence et de magistère à tous les cours dispensés aux Universités
le ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique rend obligatoire la présence des étudiants de licence et de magistère à tous les cours dispensés aux niveaux des instituts. Les étudiants sont appelés à être présents à tous les cours et travaux dirigés dispensés le long du semestre.La décision ministérielle n0 117, du mois en cours, oblige les étudiants à être présents à tous les cours et TD dispensés à l’université. Les enseignants sont sommés de veiller au respect de cette mesure en portant les absences sur un registre, qui seront pris en compte lors de l’évaluation de l’étudiant. Trois absences sans justification ou cinq absences même justifiées, excluent l’étudiant du module concerné. Ladite décision ministérielle, sous forme d’articles, stipule que dans le cas où l’étudiant s’absente trois fois et peu justifier ses absences des TD, il aura droit à une séance de rattrapage. Dans le cas de plus de trois absences non justifié, l’étudiant est automatiquement exclu du module.(Ennahar/ 17.11.2011.)
***FFS : Ali Laskri succède à Karim Tabbou
M.Karim Tabbou n’est plus le premier secrétaire du Front des forces socialistes (FFS). Il a été remplacé par M.Ali Laskri, qui a eu à occuper ce poste en 2004.
Le président du parti M.Hocine Ait Ahmed a fait part de sa décision ce vendredi 18 novembre à cours des travaux de la session du Conseil national du parti. A l’ordre du jour du Conseil national l’analyse de la situation du pays et au débat sur les échéances politiques du part.
Il a été décidé, en outre du report du 5éme congrès du parti prévu initialement pour 2012.
Désigné en avril 2007 à la tête du parti, Karim Tabbou est le plus jeune premier secrétaire du FFS. Ayant démissionné suite à l’échec subi par le parti lors des élections locales, Karim Tabbou a été reconduit à la même année à la tête du parti par Hocine Ait Ahmed. (El Watan-18.11.2011.)
***Foot: la FAF a saisi la FIFA après la défection du Cameroun
la fédération algérienne de football a reçu des excuses de son homologue du Cameroun suite à la défection de son équipe pour un match amical programmé le 15 novembre au stade du 05 Juillet, dans le cadre des préparations des deux sélections aux prochains rendez-vous.Le Bureau Fédéral s’indigne de cette situation déplorable et inacceptable des joueurs de l’équipe nationale camerounaise qui se sont distingués par un comportement contraire à l’éthique sportive pour de navrantes raisons pécuniaires et qui constituent une atteinte grave à l’éthique sportive. Devant cette situation, la FAF a saisi la FIFA et usera de tous les moyens légaux pour défendre ses intérêts et le grave préjudice causé. Le Bureau Fédéral note avec satisfaction la nette progression du niveau de l’équipe nationale et le travail accompli jusque là par le staff technique. (Ennahar/ 17.11.2011.) ***Le couscous se fête à Mila
Les plats traditionnels sont des éléments constitutifs de l’identité nationale qu’il importe de sauvegarder et de mettre en valeur.
La préparation à domicile du couscous et autres pâtes traditionnelles est une tradition qu’il convient de perpétuer, a estimé Mme Kouhil Fatima, lors de la 8e édition de la Fête du couscous et des pâtes alimentaires de Mila, une exposante de Grarem-Gouga. La manifestation qui se tient dans le hall de la maison de la culture Mbarek El Mili réunit 37 exposants issus des wilayas de Mila, Tébessa, Khenchela et Sétif. Outre les différentes variétés de couscous et de pâtes alimentaires, les stands exposent toute une panoplie de vaisselles traditionnelles en bois, en poterie et en cuivre entrant dans la préparation et la présentation des pâtes et des plats traditionnels.
Dominée par le couscous dans ses différentes déclinaisons, l’exposition met également en valeur les pâtes traditionnelles telles que la chakhchoukha, la thrida, lemqertfa, el mermez et autres denrées qui constituaient l’essentiel du régime alimentaire traditionnel, et qui aujourd’hui sont menacés de disparition. Avec la disparition de la préparation à domicile et de façon artisanale des plats et des pâtisseries traditionnelles, ce sont des traditions de vie sociale, de convivialité et de solidarité qui disparaissent, a observé de son côté le journaliste Abdelkader Dehili.
La préparation du couscous pour les fêtes de mariage et autres événements sociaux a de tout temps constitué un «événement de socialisation» et le «meilleur des préludes aux réjouissances familiales», a renchéri une autre exposante.
Chérif Djaâboub, président de la Chambre de l’artisanat et des métiers (CAM), a indiqué que le nombre d’artisans activant dans le domaine des pâtes alimentaires se limite à 25 sur les quelque 4000 adhérents de la chambre. La fête du couscous et des pâtes alimentaires, organisée annuellement à Mila, a pour ambition de relancer et de revivifier l’intérêt des artisans pour ce produit phare de la cuisine algérienne, en stimulant la compétition dans ce domaine à travers l’instauration d’un prix pour le meilleur produit et avec comme objectif de valoriser le couscous algérien sur le plan international.
L’intérêt porté au couscous algérien et les pâtes connaît un regain certain qu’il convient de consolider et de valoriser, a indiqué le président de la Chambre de l’artisanat et des métiers.
La manifestation est également une occasion pour mettre en valeur le couscous de Mila appelé el mhaouar, réputé pour la finesse de son grain et la qualité de sa sauce blanche préparée avec de la viande de mouton. (El Watan-17.11.2011.)
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*Etats-Unis: 17 tonnes de marijuana saisies dans un tunnel
Les agents fédéraux américains ont découvert une cargaison de 17 tonnes de marijuana dans un entrepôt d’un parc industriel de San Diego, en Californie, mardi après-midi.(15.11.2011)Cette découverte a été faite grâce à la police américaine qui a arrêté un camion contenant de petites cargaisons partant de l’entrepôt. Trois tonnes de marijuana ont été saisies à bord du camion suspect. Une découverte qui a ensuite entraîné une fouille de l’entrepôt. C’est alors que les agents fédéraux ont déniché un tunnel de six mètres de profondeur dans le sol. Ils y ont trouvé d’importantes structures, de l’éléctricité mais aussi de la ventilation. Le passage d’environ 2 kilomètres reliait bien la ville de San Diego en Californie à la ville de Tijuana au Mexique.6,5 tonnes de marijuana ont été trouvées dans l’entrepôt américain. Les autorités mexicaines ont quant à elles retrouvé 8 tonnes de marijuana de l’autre côté du tunnel, à Tijuana. Soit un peu plus de 17 tonnes au total.
D’après Skynews, des indices prélevés dans l’entrepôt laissent penser que le passage a été construit récemment. Pour rappel, la ville de Tijuana est la principale plaque tournante du trafic de drogue entre le Mexique et les Etats-Unis et se trouve sous le contrôle des plus puissants cartels au monde. L’année dernière, deux tunnels similaires avaient été découverts.(20Minutes-17.11.2011)
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*Selon le magazine américain «People»
**Bradley Cooper désigné l’homme le plus sexy de la planète
C’est le magazine américain «People» qui le dit, même si tout le monde n’est pas forcément d’accord…L’acteur aux yeux bleus…Visiblement, son charme opère aussi hors des frontières, puisque Bradley Cooper vient d’être élu «homme le plus sexy au monde» par le magazine américain People, qui consacre chaque année un sex-symbol. La star de Very Bad Trip et de L’Agence Tous Risques succède ainsi à Ryan Reynolds, Johnny Depp ou encore Hugh Jackman.
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